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Qui aurait dit que je vous reparlerais d’une exposition aussi rapidement. Pas moi, je le jure.
Après avoir envoyé mon dossier à la Maison de la culture de L’Ancienne-Lorette, je décide de me payer une couple d’heures dans Facebook bien calée dans mon divan. Toute tentative de culpabilisation sera écartée à la moindre apparition. J’ai le goût de fouiner et je le ferai avec joie. J’assume totalement. Je fréquente merveilleuse Sarah, naturopathe et massothérapeute, depuis octobre. J’adore son approche, son écoute, son respect, sa façon de travailler. Curieusement, je ne l’ai pas encore aperçue dans le cyberespace. Elle se cache sûrement quelque part. De fil en aiguille, j’atterris sur sa Page. Récemment installée dans de nouveaux bureaux, Sarah cherche parmi ses clients qui auraient des œuvres pour décorer ses locaux : « MOI !!! ». Avant même d’avoir réfléchi, mon commentaire était parti. C’est ainsi que mercredi dernier, je suis allée accrocher 10 toiles dans les locaux de Mosaïk Santé. Entre vous et moi : Quelle synchronicité !!! Encore une preuve qu’il faut toujours écouter ses désirs, même quand il s’agit d’une envie de Facebooker tout un après-midi et qu’il faut être attentif aux décisions que l’on prend « intérieurement, profondément », car si tu dis à l’Univers que tu es prête à exposer : tu exposeras. La vitesse de réponse est assez spontanée quand tu réponds oui aux propositions que tu reçois. Merci, encore plus merveilleuse Sarah Leblanc de l’opportunité que tu m’offres. Si vous passez par là ou chercher une naturopathe-massothérapeute fantastique : j’expose du 5 juillet au 13 septembre 2017 dans la salle d’attente de Mosaïk Santé au 1751 ave Sheppard à Québec. La vie est parfaite. Tu n’as qu’à suivre le flot. On se le fait dire si souvent… Ce n’est pas qu’on ne le sait pas, mais encore faut-il avoir des oreilles ouvertes « à tout moment ». C’est là que ça accroche un peu dans mon cas.
Il faut agir spontanément, suivre son intuition, mais garder le mental alerte et concentré. Sérieusement, comment peut-on demander à notre mental de dégager la place et en même temps d’être aux aguets pour saisir au vol le mot nécessaire pour la prochaine étape ? Je vous raconte. Prochainement, j’aimerais poser un geste qui impliquera d’avoir des photos haute résolution de mes œuvres, photos que je n’ai pas. Alors, je ne bouge pas. J’attends sans rien faire une solution à savoir : obtenir de bonnes photos facilement à faible coût. Si c’est le geste que j’ai à poser, la vie m’arrangera le tout. Et là, je ferme mon mental et je retourne peindre dans mon atelier. Quelques jours plus tard, sur Facebook, mon amie Agathe ajoute de belles photos qui attirent mon attention, assez pour que je lui envoie un courriel pour la féliciter. Ce dernier lui fait plaisir. Elle m’appelle et m’explique que son chum s’est équipé. Ah bon ! C’est fantastique !… pour elle. N’oubliez pas ! Mon mental est en vacances. Et on jase de photos et autres choses pendant une heure. Le surlendemain, à mon cours de Word Press, on reparle de photos. Alors, comme mon mental est un peu éveillé (il doit qu’en même assimiler de nouvelles connaissances), il dérape tel un chien fou : Photo, photo, qui a parlé de photo ? Ne me demandez pas ce qu’explique le professeur, mon mental a perdu le nord. N’ai-je pas un dossier d’ouvert à ce sujet ? À quoi devais-je être attentif ? Photo, photo… Et là, Bang le lien se fait : Agathe a un équipement et je veux de bonnes photos. Et pourtant je le savais. Elle m’avait déjà proposé de faire une séance photo. Dois-je m’en vouloir de ne pas y avoir pensé avant ? Certainement pas. La vie est parfaite et elle me l’a rappelé au moment opportun. Si vous m’avez cherchez vendredi dernier, eh bien ! j’étais avec Agathe. |
Dans l'atelier !Dans son blogue, Marie Michaud raconte les détails de l'évolution de son aventure artistique dans son atelier L'univers de Malio : les avancées, les dépassements et les embûches. Catégories
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Juillet 2021
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